Produit fourni par un arbre poussant spontanément à Bornéo et Sumatra : le dryobalanops camphora
C’est le Capour barros des Malais. Seul, l’arbre vieux donne le bornéol qui exsude naturellement sous l’écorce, où on l’y découvre en masses cristallisées plus ou moins grosses.
L’arbre jeune ne donne qu’un liquide jaune clair : le « camphre liquide ».
CAMPHRE DE BORNEO
PRINCIPAUX CONSTITUANTS CONNUS :
C’est un alcool. Il se différencie, par conséquent, du camphre du Japon (le camphre habituellement utilisé), lequel est un cétone et – comme toutes les cétones – présente une certaine toxicité (la toxicité bien connue des essences d’absinthe, de rue, de sabine est due à leurs cétones).
PROPRIÉTÉS :
usages interne et externe :
– antiseptique puissant
– tonique général et cardiaque
– stimulant de la cortico-surrénale
– désensibilisant
INDICATIONS
– états de dépression
– maladies infectieuses
MODE D’EMPLOI :
– en association avec d’autres essences (O,25 – O,50 %) en ingestion et, en dilutions, par voie intra-musculaire,
– également sous forme de divers éthers comme l’isovalérianate de bornyle (bornyval) en perles de 0,25 ctgr, 3 à 5 par jour, comme sédatif dont l’action est semblable à celle de la valériane.
N.B.
De nombreuses essences tirées des plantes de notre pays contiennent également du bornéol (romarin, hysope ..)
Co-auteur, Geneviève Reiter, avec Yvonne Chatillon,
Stages et études en phyto-aromathérapie ;
Née à Neuilly sur Seine, habitant Bordeaux (33), près de la mer !
Passionnée de médecines naturelles, naturopathie, bridge et spiritualité.
Si vous aviez mieux parcouru mon blog, vous auriez vu que les sources sont citées, principalement, celles du Docteur Jean Valnet, sur cette page de mon blog https://www.lemiroirauxessences.com/p/sources.htmlC'est tout-à-fait normal puisque ma mère travaillait en collaboration avec le Docteur Jean Valnet d'où les similitudes. Mais bien évidemment puisque cela semble vous gêner, je vais modifier mon article. Bien cordialement.