Les huiles essentielles calmantes du système nerveux
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Stress, insomnie, déprime, angoisse
Huile essentielle d’Aneth, de céleri, de lentisque pistachier, de sauge sclarée, de myrte rouge, de lemongrass, d’inule, de clémentine, de cajeput, de cade, de ciste, de gaulthérie couchée, de lavande vraie, de menthe verte, de rhododendron, de fragonia, de lentisque pistachier, de petit grain bigarade.
Ces huiles ont des vertus relaxantes, anxiolytiques et calmantes. Principalement l’huile de fragonia, de lavande vraie et de menthe verte.
Elles s’utilisent seules ou en mélanges d’HE.
Elles s’inhalent, se diffusent ou encore, diluée dans une huile végétale, en massage le long de la colonne vertébrale, le plexus solaire
Huiles essentielles apéritives
La camomille, l’ail, l’oignon, la cannelle
Rééquilibrant du système nerveux
Cyprès seul 18
Sénescence
Sauge sclarée 3, Romarin 3, Sarriette 3, Marjolaine 5,
Basilic 4.
Somnolence, Endormissement. Pré-coma, Coma hépatique
Menthe 4, Romarin 15.
Stimulant du système nerveux central et neurovégétatif
Lavande 10, Thym 9.
Tendinite. Déchirure musculaire
Romarin 12, Camomille 7
ou Romarin 9, Lavande 10.
Utiliser également : Thym 6, Menthe 2, Genièvre 6, Cajeput 5.
Douleurs neuropathiques
L’huile essentielle de lavande officinale (Lavandula angustifolia).
A utiliser en inhalation, elle réduit l’hyperalgie de douleurs neuropathiques et inflammatoires chroniques.
Cas d’observation
Un cas rapporté dans les archives d’hygiène naturiste.
Pour information, la retranscription de cette observation est utile pour connaître l’avis des médecins au sujet de ces deux thérapeutiques bien souvent méconnues. Selon eux, elles gardaient une valeur hautement démonstrative.
Madame P …,
Habitant la Dordogne, fait un état dépressif alarmant , en mars, au départ de son petit-fils comme militaire. En quelques semaines, cette personne, jusque là enjouée et vaillante, n’est plus que l’ombre d’elle-même. Elle ne se souvient plus de rien et perd bientôt la raison : croyant sortir de chez elle, elle s’engouffre dans un placard et y demeure ; lorsqu’elle dessert la table, elle porte la vaisselle dans la salle de bains …
Comme il s’agit d’une bonne mère, son gendre veut tenter le maximum à son endroit. Alors, la naturopathie traita ses symptômes avec phyto et aromathérapie, phosphore, oligo-éléments. A Paris, une clinique lui appliqua une thérapie cellulaire. Cette femme a reçu : placenta, foie, rate, trigone, hypothalamus antérieur, hypophyse.
Deux mois plus tard – au mois de mai – Mme P. .. » a rajeuni de 10 ans ». Son activité, tant physique qu’intellectuelle, est intégralement récupérée.
De surcroît, les résultats se maintiennent pendant deux ans et demi, jusqu’à ce jour de décembre où Mme P …., revenant à pieds dans sa maison de Véssac, en empruntant un raccourci, tombe dans une mare glacée. Le choc physique consécutif, la peur horrible de mourir noyée lui sont grandement préjudiciables. Un agriculteur entend ses cris et vient « in extremis » la sortir de son bain.
En tout état de cause, les hygiénistes conseillent donc alors à son gendre de ramener cette dame à Paris pour une nouvelle thérapeutique cellulaire appliquée au mois de décembre, un peu avant Noël. Le traitement est complété par des plantes et des essences, de la vitamine C, naturelle sous forme de sirop d’argousier.
Au terme de quoi, un mois et demi plus tard, Mme P. … a recouvré une santé remarquable et au mois de novembre soit huit années plus tard, tout va toujours très bien à 81 ans. Mme P. … se contente, de temps à autre, d’absorber quelques tisanes, selon les prescriptions ou de sa propre initiative, car elle est de ces personnes qui connaissent bien les vertus de nombreuses plantes.
Le Docteur R.B.H. qui la suivait devait certainement penser pour ce cas, ce que les hygiénistes déduisaient d’ailleurs eux-mêmes, à savoir que la thérapie cellulaire a été – bien plus que les plantes – par deux fois l’élément thérapeutique déterminant dans le retour à la santé de cette malade.
Image parmohamed Hassan de Pixabay