Actuellement, nous parlons beaucoup de l’œuvre romanesque de Marcel Proust, écrivain Français né en novembre 1922. C’est en effet, bientôt l’anniversaire de sa mort qui eut lieu à Paris le . L’œuvre principale est une suite romanesque intitulée À la recherche du temps perdu, publiée de 1913 à 1927.

Les plus grands écrivains du siècle ont parlé de Marcel Proust, soit pour le louer, le condamner, se situer par rapport à lui. Le 18 novembre 1922, le numéro d’hommage de la N.R.F. (1er janvier 1923) a permis de connaître la place que l’auteur de la Recherche du temps perdu occupait alors parmi ses confrères, qui sous-entend la génération de 1870¹.

La raison de la publication de cet article aujourd’hui, est encore à mon esprit l’image de mon père lisant et relisant ce livre qu’il avait sur sa table de chevet « La recherche du temps perdu ». Une lecture était comme en boucle à la fin de chaque tome. C’est bien plus tard que j’ai interrogé les archives pour constater qu’après une interruption, malgré quelques critiques acerbes, la gloire de Proust avec une large popularité parmi les nouveaux écrivains et critiques avaient toujours été au plus haut. Les affres de l’Histoire, le ralentissement de la littérature engagée prônée par Sartre, les nouvelles recherches  techniques avaient renforcé ce mouvement.

L’accueil des écrivains comme Barrès France, Paul Valéry, Paul Claudel, André Gide, Jean Cocteau, François Mauriac, Jean-Paul Sartre, Albert Camus, Georges Bataille en ont  témoigné particulièrement.

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