L’urticaire

Blog Arts essentiels - webmaster Geneviève Reiter - Bordeaux

Il s’accompagne dans certains cas de température et de douleurs articulaires, de phénomènes asthmatiques

C’est une éruption de plaques rougeâtres très prurigineuses, traduction d’une allergie humorale. Il en existe plusieurs formes : bulleuses, œdémateuse (l’œdème de Quincke au visage avec parfois des complications laryngées et asphyxiques …)

FICHE

 

L’Urticaire

 

CAUSES :

Ne sont reconnues que dans environ 20 % des cas. 

Envisager :

  • intoxications alimentaires, médicaments (sulfamides, antibiotiques, autres produits de synthèse les plus divers, certaines préparations à base de plantes), à lèvres, parfums, crèmes de beauté, contacts avec certains végétaux ou simplement leur proximité, les parasitoses …

Tout en fait, dans le terrain de la personne atteinte d’urticaire, devrait être passé au crible.  

Sont favorisants :

  • une insuffisance hépatique, les troubles digestifs, le terrain asthmatique
  • migraineux
  • eczémateux, certains troubles endocriniens, une fragilité nerveuse, le diabète. 

DECLENCHANTS :

  • les changements de conditions climatiques, les chocs moraux.

TRAITEMENT :

Forme grave avec œdème du larynx

C’est un traitement d’urgence : Cortisone ou ses dérivés, divers « anti-histaminiques » possibles. Dès la crise passée, voir plus soin.

Forme banale, récidivante

La cortisone est formellement déconseillée. 

a) Chercher la cause pour la supprimer.  

b) Traitements hépatiques avec préparations à base de plantes, soufre, hyposulfite de magnésium ; charbon, calmants végétaux.  

c) Traitements de terrain divers selon les cas (le rôle du médecin, s’il est vraiment au fait des traitements de ce type). Dans la gamme peuvent entrer l’auto-hémothérapie, les extraits de foie ou de rate, certaines préparations à base de calcium, bien sûr de magnésium et de nombreuses tisanes de drainage.  

d) Du point de vue alimentaire : pas de régimes draconiens car ce n’est pas une attitude « médicale ». Veiller aux aliments susceptibles d’entraîner une réaction : selon les cas, ils pourront être très divers car à côté des charcuteries et du chocolat, des fraises et des excitants, du chou-fleur et de certaines conserves, peuvent figurer l’eucalyptus et le tilleul.  

e) Localement, pour lutter contre les démangeaisons : eau vinaigrée, eau-de-vie camphrée, préparations aromatiques avec essence de menthe, pâte à l’eau du Codex. Utiliser un savon acide pour les soins habituels de toilette.

 

Les urticaires paraissent en très nette progression depuis l’usage d’une chimiothérapie excessive et l’habitude – ou l’obligation – d’une alimentation frelatée. Faute d’éléments connus, le médecin a parfois du mal à guérir dès la première consultation.

 

Co-auteur, Geneviève Reiter, avec Yvonne Chatillon,
Stages et études en phyto-aromathérapie ;
Née à Neuilly sur Seine, habitant Bordeaux (33), près de la mer !
Passionnée de médecines naturelles, naturopathie, bridge et spiritualité.

Ne partez pas sans commenter !

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.