L’impuissance, traitement naturels

Blog Arts essentiels - webmaster Geneviève Reiter - Bordeaux

Elle est l’impossibilité d’accomplir l’acte sexuel

Elle peut exister chez la femme aussi bien que chez l’homme. La frigidité banale de la femme relève de soins particuliers faisant l’objet d’autres études. Dans cette fiche, il sera question de l’impuissance féminine et masculine.

 FICHE

L’Impuissance

Chez la femme :

Les causes de l’impuissance consistent dans des blocages qui les rend inhabiles au rapport sexuel. Ce refus peut être naturel ou accidentel, susceptible de guérison ou incurable. Il existe des obturations totales du vagin ou de la vulve mais on a vu également la femme concevoir lorsque l’orifice de la matrice s’ouvrait dans le rectum (1).

A titre historique, nous pouvons rapporter bien d’autres cas relevant de l’incompréhensible (2).

Causes :

Malformations anatomiques, lésions cérébrales ou de la moelle  épinière, congénitales ou acquises. Elles ne font pas l’objet de ce post.

Chez l’homme :

Causes :

– Il semble que la dysfonction érectile ou panne de désir sexuel habituelle, plus ou moins temporaire, ait toujours affecté des hommes d’âges très différents. Les jeunes hommes en sont victimes au même titre que les autres. L’impuissance est d’ailleurs une notion toute relative : l’habitude des records frustrera l’homme avec un rapport par jour  alors que cette cadence représente un exploit pour qui s’est toujours contenté d’une « séance » par semaine ou tous les mois.

– Surmenage physique et intellectuel, excès de soucis, le stress au travail »,
 
– Marathons sexuels : « Le besoin orgasmique de l’homme  a été quantifié en 1975, il serait de l’ordre de 5 000 dans la vie d’un homme normal ». (Moniteur des pharmaciens),

– Vieillissement normal ou prématuré,
Syndromes divers : athérosclérose, diabète, troubles endocriniens, obésité  également souvent les opérations sur l’estomac,

– La sédentarité, le manque d’oxygène,
 
– Intoxication chronique :
Tabagisme, alcoolisme, certaines médications, surtout de synthèse,

– Incompatibilités :
La « femme castratrice » mais aussi les relations collatérales, phénomène favorisé par la promiscuité (impossibilité de s’isoler),

– L’habitude qui lasse :
Climat affectif déficient, manque de confiance, hyperémotivité, timidité,
Parfois excès d’amour de la part de la compagne. A moins d’être « maso », les reproches lui feront perdre ses moyens.

– Des influences extérieures de nature imprécises.

 

TRAITEMENTS :

Il est nécessaire de traiter les causes, bien entendu des troubles organiques sanguins très divers, avec des médications hormonales mâles synthétiques en se renseignant avant si elles ont fait leur preuve, le dopage n’ayant que des effets temporaires, illusoires. Quant aux autres cas, les plus répandus, il existe des solutions naturelles d’aromathérapie, de compléments alimentaires, et  l’adoption d’une alimentation équilibrée. On peut y adjoindre également la psychanalyse. Mais ne pas oublier que l’amour et la bonne humeur restent les meilleurs aphrodisiaques.

– Phyto-aromathérapie : classiquement menthe, romarin, sauge, cannelle, ginseng, yohimbe (arbre à feuillage persistant originaire du Gabon, du Cameroun, du Congo et du Nigeria, partie utilisée : l’écorce) ,oignon, piment, poivre, …

 – Acide phosphorique, magnésium, strychnine, iode parfois (stimulation de la thyroïde)…

– Alimentation équilibrée et suffisante, bien que les populations sous-alimentées soient les plus prolifiques. Sont toutefois recommandés : le germe de blé, pollen, gelée royale, algues marines, les vitamines A, C, E, naturelles bien sûr.

– Certains sédatifs nervins végétaux ont une influence favorable en calmant un organisme anxieux (passiflore, valériane, aubépine, mélilot) ; 

Balnéothérapie judicieuse : 

Bains aux algues marines et essences aromatiques (pas trop chauds).

Parfois la psychanalyse :

Une thérapie peut se montrer efficace pour lutter contre la timidité, organiser des changements dans sa vie.

 

L’aromathérapie

Elle dégage de la sensualité

Les odeurs réveillent les émotions et la sexualité. Les huiles essentielles aux notes épicées comme la cannelle ou la bergamote sont conseillées. D’autres, plus fleuries, comme l’ylang-ylang, le géranium ou le bois de rose sont connues pour raviver la sensualité chez la femme. En cas de rapport douloureux les huiles essentielles de camomille noble et de lavande apaisent.

Utilisation :

Vous pouvez les utiliser en diffusion (excepté la camomille) ou en massage, en diluant 4 gouttes maximum (pour la cannelle, 1 goutte suffit) dans 1 cuillère à soupe d’huile végétale, type amande douce ou noyau d’abricot.

Vous pouvez également trouver dans le commerce des formules prêtes à l’emploi :

– L’huile essentielle de Damiana, l’huile essentielle de gingembre, l’huile essentielle de poivre noir, l’huile essentielle de Bois de Siam, l’huile essentielle de Thym bornéol. Elles stimulent tout l’organisme dans le cas de fatigue générale et sexuelle.

– L’huile de massage « lâcher prise » :

20 ml d’huile végétale au choix
8 gouttes d’huile essentielle d’Orange,
6 gouttes d’huile essentielle d’Ylang Ylang
4 gouttes d’huile essentielle d’encens

– Roll-on libido Nature et Découvertes, (15144800) Huiles essentielles. A appliquer sur les tempes, le plexus et les poignets pour éveiller ses instincts câlins. Cette alliance d’huiles essentielles bio de gingembre, d’ylang ylang, de patchouli de cèdre et de bergamote détend et prépare à des moments câlins. (Réseaux de distribution : magasins spécialisés, vente à distance).

– Huile de massage BIO 100 ML : Puressentiel éveil des sens.

Conclusion :

Se rappeler qu’il n’y a pas de drogues miracles, que tel individu en bonne santé, ayant une bonne hygiène de vie et alimentaire, a moins de chance qu’un autre d’être impuissant – hormis le vieillissement normal – et que cette faille trouve la plupart du temps son origine dans le psychisme.

 

Image parNoupload de Pixabay

 

(1) : (cf. une thèse ancienne de Louis : les règles coulaient par le rectum, l’enfant naquit bien conformé mais le sphincter anal s’était déchiré) ».
Anciens écrits de 1862-1863 de J. Flandinette. Ces lignes ont été tirées du cours d’accouchement de la Maternité de Besançon.

(2) Pendant les guerres d’Allemagne, un soldat fut hospitalisé pour une tumeur abdominale d’origine inconnue. Il en mourut. A l’autopsie, on le découvrit porteur d’une matrice contenant un enfant. Là encore, aucune ouverture vaginale antérieure mais l’orifice de la matrice s’ouvrait dans le rectum.

Co-auteur, Geneviève Reiter, avec Yvonne Chatillon,
Stages et études en phyto-aromathérapie ;
Née à Neuilly sur Seine, habitant Bordeaux (33), près de la mer !
Passionnée de médecines naturelles, naturopathie, bridge et spiritualité.

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