Différentes méthodes de longévité

Blog Arts essentiels - webmaster Geneviève Reiter - Bordeaux

Regroupement sur celles qui existent à l’heure actuelle

Les véritables causes du microbisme

Depuis Pasteur, les laboratoires et organismes de santé qui vendent des vaccins et des antibiotiques, continuent de faire croire au grand public, que le microbe d’origine externe est la cause des maladies infectieuses. Ils sous-entendent des plus bénignes aux plus graves.  Par conséquent, pour s’en protéger il faut se faire vacciner. Outre que dans le cas d’infections avérées les antibiotiques voire « antiviraux » s’imposent automatiquement.

Néanmoins, selon le courant de pensée que l’on a décidé de suivre,  la vérité est tout autre.

Pour mieux dire, le réservoir à microbe (virus, bactéries, etc.) est l’intérieur de l’homme lui-même. Les microbes que l’on trouve dans l’organisme humain ne sont pas la cause mais l’effet des maladies. Ils prennent naissance au sein des matières en fermentation qui stagnent dans l’organisme qui conserve pour lui ses matières !

En effet ces microbes ne peuvent proliférer que sur des terrains organiques dévitalisés. En fait, il n’existe pas de microbes « pathogènes » mais seulement des terrains organiques altérés par la mauvaise hygiène de vie des personnes. C’est ce terrain altéré qui est infectieux, c’est-à-dire cause du microbisme. Tandis que le microbe ne s’attaque qu’aux terrains déficients et dévitalisés.

1/ La théorie de Filatov

Bio- ou phytostimulines

La théorie de Filatov des « stimulations biogènes », repose sur la notion fondamentale suivante : un tissu vivant (humain, animal ou végétal) séparé de son organisme et conservé dans des conditions de souffrance (froid, dessication, distillation…) produit – dans le cadre de sa lutte pour la vie – des substances de résistance : les bio- ou phytostimulines. Ces stimulines, introduites dans un organisme déficient, activeront les processus vitaux défaillants et renforceront le métabolisme cellulaire. Métabolisme signifie l’ensemble des transformations chimiques et biologiques qui s’accomplissent dans l’organisme et qui constituent l’acte de la nutrition améliorant ainsi les diverses fonctions physiologiques. Ces stimulines, tout à la fois, luttent contre l’infection et renforcent les propriétés de régénération tissulaire.

Placenta et rajeunissement

Filatov est un savant Russe qui a réussi à mettre en évidence les possibilités régénératrices du milieu qui fut le nôtre pendant notre vie intra-utérine. Il s’agit d’une méthode totalement indolore, elle ne comporte aucun risque ultérieur. La pose de l’implant en milieu stérile est rapide. Il est mis en place après une brève anesthésie locale au-dessus du pubis. Du fil de nylon referme l’étroite ouverture – pas plus d’un centimètre –  et un discret pansement recouvre le tout. Les activités peuvent se poursuivre toutefois, les bains sont interdits pendant 48 heures. Le seul incident post-opératoire possible – bien que très rare – est l’hématome sous-cutané, sans autre préjudice qu’esthétique.

Rythme de pose des implants

Il reste fonction de chaque individu : tous les ans, ou tous les 18 mois, ou tous les trois ans. Selon les spécialistes, plus le potentiel de récupération du sujet est important, moins le rythme sera fréquent. Plus le degré de fatigue est accentué, plus le rythme devra s’accélérer. Schématiquement entre 30 et 40 ans, il conviendrait de faire pratiquer deux à trois implants ; entre 40 et 50 ans deux à quatre ; entre 50 et 60 ans trois à cinq ; au-delà de 60 ans un implant tous les 18 mois. « La Loi de Filativ » sera appliquée pour une personne surmenée et présentant des troubles du fonctionnement ; c’est-à-dire  – un implant tous les quatre mois jusqu’à stabilisation.

Accoutumance

Ce qui est acquis, est acquis définitivement : lorsque les effets du premier implant s’estompent ou n’enregistre aucune accélération du processus de vieillissement. Il reprend exactement son cours normal. On a observé aucune accoutumance.

La clinique, une machine à remonter le temps ?

Observation des hygiénistes après le résumé de l’appréciation médicale sur l’apport des implants de placenta : dans les mois qui suivent la pose d’un implant, l’individu semble retrouver sensiblement la même vitalité, le même dynamisme, la même efficacité que quelques années auparavant, au moment où son âge physiologique coïncidait avec son âge réel. Mais à bien considérer les choses,  cette méthode « d’un autre temps »,  n’est pas donnée. La méthode Filatov est appliquée dans des cliniques Suisses. Néanmoins, la méthode de Filatov semble être un acquis incontestable dans la lutte contre le vieillissement. Elle apporte les éléments nécessaires à un bain de jouvence personnalisé et durable. Aussi n’est-il pas question de l’ignorer. La seule contre-indication aux implants placentaires serait… l’indifférence et elle se situe aux antipodes de celui qui a fait une prise de conscience aujourd’hui pour conserver son capital-santé. N’hésitez pas à vous renseigner.

2/ Adopter une alimentation spécifique et naturelle.

Les principes

Manger sainement peut s’avérer ennuyeux. J’avais bien remarqué le caractère de ma mère, le plus assommant et rébarbatif que la Terre ait connu !

Seulement les études s’accumulent pour prouver que le fait d’avoir un poids normal, de ne pas fumer, de limiter l’alcool fait économiser à l’état bien des deniers.

Pour les hygiénistes, nous mangeons trop. L’alimentation doit se composer en majeure partie de légumes et de fruits, d’éléments vitaux le plus possible crus. Il faut réduire nos calories d’environ un tiers soit, pratiquer la restriction alimentaire. Pas facile me direz-vous…cela n’a rien d’évident surtout au moment des fêtes, mais  le tout étant de ne pas l’oublier. De surcroît et pour aller plus loin, il existe le jeûne.

Tandis qu’on doit régénérer son organisme, il est tout-à-fait indispensable également de supprimer ces aliments « du tout-cuit ». Mais plus encore d’enlever définitivement de nos assiettes, ces produits « anti-spécifiques ». Il s’agit, vous l’aviez deviné, non seulement des produits laitiers (sous toute leur forme) mais, aussi des farineux (gâteaux, pain, pâtes, riz, pomme de terre et autres céréales et légumineuses). Comme l’organisme humain n’a pas les enzymes digestives nécessaires, il ne peut les digérer et les assimiler correctement. En fin de compte, tous  les  laits d’origine animale à l’intérieur desquels les protéines sont allergisantes, pour lui.

Il faut savoir que leur calcium, non assimilable, participe à sa décalcification. L’organisme ne peut pas non plus, assimiler correctement les molécules d’amidon des féculents et  légumineuses (haricots secs, lentilles, pois, etc.), tués par la température de cuisson. Conséquence de quoi, une grande quantité d’amidon fermente dans le côlon et se transforme en alcool.

Et les  farineux provoquent un véritable alcoolisme ce dont les médecins allopathes et homéopathes ou certains naturopathes et diététiciens ne parlent jamais !

En conclusion,  les produits laitiers animaux, les farineux et sucre blanc sont les grands poisons, ils sont à éliminer radicalement de son alimentation, (P.V. MARCHESSEAU (médecin-biologiste-naturopathe).

3/ Le jeûne (en pratique régulière)

L’art du jeûne aborde la question fondamentale de la restriction alimentaire d’où il s’ensuit une mise en acidose de l’organisme.

Il s’agit d’un principe vieux comme le monde qui reste à ce jour le meilleur médicament naturel pour détoxiquer l’organisme, éviter la maladie ou accompagner la guérison.

En dépit des « béquilles chimiques fournies par l’industrie du médicament qui représentent la seule médecine valable » pour certains, c’est un fait scientifiquement avéré, que le jeûne peut être une solution alternative très efficace.

C’est ainsi que la restriction alimentaire, la mise en acidose et le jeûne devraient rester nos seuls comportements alimentaires vis-à-vis de la maladie. Malgré que beaucoup pensent qu’il faille nourrir un organisme pour le rendre plus fort ! Ainsi ne faudrait-il jamais tarder à se procurer des livres utiles parlant des différents jeûnes, complets ou partiels.

4/ Le stress

Le stress est oxydant pour l’organisme. Tous les stress, qu’ils soient d’ordre psychologique et/ou d’ordre biologique, entraînent une carence en oxygène et en énergie, donc une acidose et, par là  une baisse de l’immunité naturelle des défenses organiques.

En conséquence, il faut se tenir loin des conflits familiaux, professionnels, psychologiques variés, des contrariétés, colères, haine, rancunes inutiles qui en sont le déclencheur.

Une alimentation habituellement anti-spécifique et dénaturée est un stress biologique qui induit un encrassement de notre sang et de la lymphe et de nos cellules. Cette mauvaise alimentation s’ajoute à une pollution par l’air que nous respirons, par l’eau que nous buvons, et même par les résidus de pesticides et d’engrais chimiques qui empoisonnent les végétaux que nous mangeons. Sans oublier les résidus d’antibiotiques et ou d’hormones et autres polluants qui empoisonnent la chair des animaux.

Dès que possible, procurez-vous, en magasin de régime, ou Biocoop un nutriment antistress 100 % naturel pour favoriser un sommeil réparateur.

5/ Renforcer son système immunitaire

L’immunosénescence

Quelles que soient notre condition physique et notre alimentation, le système immunitaire perd de l’efficacité avec l’âge. Une faible réponse à la vaccination et une incapacité à combattre les infections en sont la conséquence.

Déjà, au début de l’âge adulte, le thymus — un organe en forme de nœud papillon situé dans la gorge — amorce son déclin.

Ceci est très inquiétant compte tenu du fait que le thymus est l’endroit où les agents immunitaires appelés lymphocytes T combattent les infections. Cette fermeture est donc d’autant plus grave chez les personnes âgées que leurs cellules T  ne peuvent apprendre à reconnaître les nouvelles infections ou à lutter efficacement contre le cancer.

Toutefois le remède existe.  Apprendre à consommer suffisamment de vitamines essentielles, en particulier A et D.

Un domaine de recherche s’avère prometteur car il s’intéresse aux signaux que l’organisme envoie pour favoriser la production de cellules immunitaires, telle la molécule IL-7. D’où la conclusion que certains médicaments contenant cette molécule, pourraient voir le jour. Et le système immunitaire serait ainsi renforcé à partir d’un certain âge.

Une autre approche consiste à utiliser le complément alimentaire spermidine qui incite les cellules immunitaires à se débarrasser de leurs déchets, comme les protéines endommagées. De source récente, cette méthode s’avèrerait si efficace pour le système immunitaire des personnes âgées qu’on la teste actuellement pour obtenir une meilleure réponse aux vaccins contre la Covid chez celles-ci.

6/ La thérapie par l’Ozone

Définition

L’objectif de ce soin est d’augmenter l’oxygénation du corps pour mieux le détoxifier.Les injections d’ozone peuvent se faire sous la peau (hypodermique) dans le muscle (intramusculaire) ou directement dans la cavité d’un organe.

Mode d’action

On insuffle dans l’intestin un mélange oxygène/ozone, qui forme un gaz très instable. Ce mélange se décompose instantanément en atomes d’oxygène qui se fixent à l’hémoglobine dès leur contact avec la muqueuse colique (par l’intermédiaire des vaisseaux sanguins dont elle est parcourue). L’oxygène diffuse ainsi rapidement dans tout l’organisme créant une détoxification immédiate et une meilleure respiration cellulaire.

Effets sur l’organisme

Les effets de l’ozone sont immédiats et à long terme : La cellule élimine en profondeur les déchets toxiques absorbés parfois depuis très longtemps. L’ozone a un effet anti-infectieux, anti-bactérien, anti-viral. Il limite également les infections chroniques. L’ozone améliore la circulation sanguine artérielle et veineuse. Il a une action relaxante, comme quand on respire profondément (en yoga par exemple). Il a une action dé-fatigante en stimulant le métabolisme cellulaire.

Les avantages

L’ozone, un anti-infectieux puissant, un stimulant majeur des défenses immunitaires et un destructeur de toxiques, est largement indiqué comme moyen thérapeutique. Il possède une haute efficacité,  sans aucune toxicité (ni immédiate, ni par effet de cumul) et un effet préventif.  Son action est locale mais aussi et surtout générale.

Voir article annexe

Bon à savoir :

Les transfusions

Il est possible de changer son sang. Johnny Halliday était un adepte de cette thérapeutique qu’il pratiquait tous les ans. Ouvrir cet article sur une transfusion de sang comme cure de Jouvence.

Co-auteur, Geneviève Reiter, avec Yvonne Chatillon,
Stages et études en phyto-aromathérapie ;
Née à Neuilly sur Seine, habitant Bordeaux (33), près de la mer !
Passionnée de médecines naturelles, naturopathie, bridge et spiritualité.

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