Résistivité des essences

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THÉORIES

Dans les deux articles précédents, il a été abordé la théorie de Filatov et le mode d’action des essences aromatiques.

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pensées de Giverny

 
 

RÉSISTIVITÉ

La résistivité est la propriété d’une solution à s’opposer à la transmission de la chaleur ou de l’électricité. Plus une solution est pure, plus elle s’oppose à la transmission électrique.

Or, d’une manière générale, les essences naturelles ont un pH acide et surtout une résistivité très importante. La résistivité de l’essence de girofle est de 4.000 (20 fois celle du sang humain), celle du thym de 3.300, celle de l’essence de lavande de 2.800, celle de l’essence de menthe 3.000. Un mélange d’essences dont on sait qu’elles sont dotées de propriétés bactéricides marquées par nébulisation dans l’atmosphère, a une résistivité de 17.000 (la résistivité du mélange est ainsi beaucoup plus forte que celle de chacune des essences le composant). Son pH est très acide, à 4,6.

Or l’alcalinité favorise la pullulation microbienne et l’acidité s’y oppose. On comprend dès lors les propriétés bactéricides intenses des essences naturelles.

La haute résistivité des essences s’oppose également à la diffusion de l’infection et des toxines.

La menthe. L’essence de girofle. 

Le rH2, potentiel d’oxydo-réduction, a des chiffres variables selon les essences, qui activent les oxydations ou les réduisent selon les cas. La menthe, puissant oxydant, voit ainsi ses propriétés anti-microbiennes expliquées. Par contre, l’essence de girofle est un réducteur et devrait comporter des propriétés anti-virales et anti-cancéreuses. (1)

Comme toujours, la pratique n’apparaît pas aussi simple que la théorie et souvent il est préférable de vous laisser guider par l’expérience renouvelée des auteurs anciens et les résultats que les essences permettent d’obtenir. Cl Bernard disait que quand les faits sont en opposition avec la théorie, c’est la théorie qu’il faut reconsidérer. Ainsi ne craignez pas d’attendre la confirmation de cette théorie pour vous faire un opinion sur les effets obtenus.

(1) Selon L. Cl. Vincent, la cancérose s’accompagne d’un pH alcalin, d’un rH2 élevé (au-dessus de 25-26) et d’une résistivité abaissée (en-dessous de 170, jusqu’à 110-100, phase d’irréversibilité). Or, l’essence de girofle qui a un pH acide (6,7), un rH2 bas (16,5) et une résistivité très élevée (4.000), se trouve avoir des composants électroniques opposées au cancer et aux maladies à virus.Les affections microbiennes correspondent à un état alcalin, avec rH2 assez faible et une résistivité également faible.

 
 
 
 

Image parMarina Pershina de Pixabay

Co-auteur, Geneviève Reiter, avec Yvonne Chatillon,
Stages et études en phyto-aromathérapie ;
Née à Neuilly sur Seine, habitant Bordeaux (33), près de la mer !
Passionnée de médecines naturelles, naturopathie, bridge et spiritualité.

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